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Daniel Pontoreau

Avant le paysage

  • Collection Keramis
39,00 €
  • Art

Daniel Pontoreau

Avant le paysage

  • Collection Keramis
39,00 €
Taxes comprises.

Caractéristisques de l'ouvrage

ISBN :
978-2-930451-43-5
Année :
2022
Couverture :
cartonnée
Dimensions :
20  x 26 cm
Nombre de pages :
160
Langues :
Fr En

Cet ouvrage offre un panorama de l’œuvre de Daniel Pontoreau. Né à Paris en 1947, l’artiste travaille à Acy-en-Multien (Oise) et Asfalou (Maroc). Ses sculptures en céramique ou en matériaux divers évoquent des roches ou des pierres dressées. Tantôt seules, tantôt associées à d’autres formes au sein de compositions abstraites souvent monumentales, elles portent en elles une évidente dimension archétypale. L’artiste est reconnu comme un des grands spécialistes des interventions dans le paysage et l’espace public.

Les œuvres de Daniel Pontoreau sont présentes dans de nombreuses collections publiques en France (Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, Fonds national d’art contemporain, Musée des Beaux-Arts de Lyon...), en Chine (International Ceramic Art Museum de Fuping), au Japon (Museum of Ceramic Art d’Hyogo, Museum of Ceramic de Shigaraki), Museum Modern Ceramic Art de Gifu, et en Corée (Clayarch Gimhae Museum). Cette monographie accompagne l’importante exposition que Keramis, Centre de la Céramique à La Louvière, consacre à Daniel Pontoreau en 2023. 

Les auteurs

  • Collection Keramis

    Les titres :

    Daniel Pontoreau - Avant le paysage 2022

    Frank Steyaert - Memorabilia 2017

    Gisèle Buthod-Garçon - La terre, simplement 2018

    Bai Ming - Vibrations de la Terre 2019

  • Daniel Pontoreau
    Daniel Pontoreau appartient à cette génération d’artistes nés au lendemain de la Deuxième Guerre et pour laquelle le potentiel plastique de la céramique est évident. Jeune artiste, il est confronté, d’une part, à la prédominance de la sculpture céramique figurative qui s’était fortement développée en Europe durant l’après-guerre et, d’autre part, à l’âge d’or de la poterie d’art et son idéologie dominante. Pourtant, en cette fin des Trente Glorieuses, Daniel Pontoreau est de ceux qui ne portent pas réellement d’intérêt à cette culture céramique bien installée dans la plupart des pays européens. Adolescent, il observe avec un intérêt la peinture avant de pratiquer la sculpture. Ses références sont quelques sculpteurs qui touchent à une autre réalité de la terre, plus immatérielle et environnementale. Il se reconnaît notamment dans le travail de John Mason (1927) aux États-Unis ou de Jean Amado (1922-1995) en France. Il est marqué par la nouvelle sculpture anglaise, par les « attitudes qui deviennent formes »1. Il est fasciné par le rapport au paysage dans les architectures de contemporains comme Frank Gehry (1929), Tadao Ando (1941) ou Marc Barani (1957).
  • Dolores Oscari

    Dolorès Oscari vient du théâtre. Elle a initié l’atelier d’art de la parole qu’elle anime actuellement au sein de l’école de droit à l’Université de Mons. Avant cela, elle a été professeure de phonétique au Conservatoire royal de Mons. Dès 1990, elle a présenté et produit l’émission quotidienne Rencontre en radio (La Première, RTBF). Dans la foulée, en 1998, elle a créé, présenté et produit le magazine littéraire. Si j’ose écrire à la RTBF en télévision et en radio (Musique 3). En 2004, elle devient conseillère « Livre et Lettres » au sein du cabinet de la ministre de la Culture et de l’Audiovisuel. En 2009 et pendant 10 ans, elle a dirigé le théâtre littéraire le Poème 2 à Bruxelles.

  • Ludovic Recchia
    Ludovic Recchia est historien de l’art et curateur spécialiste de la céramique belge moderne et contemporaine. Conservateur des collections de céramiques européennes du Musée royal de Mariemont de 2003 à 2022, il est actuellement directeur et conservateur de Keramis (Centre de la Céramique de la Fédération Wallonie-Bruxelles), institution qu’il a fondée en 2015. Depuis 2016, il est membre de l’Académie internationale de la Céramique. Ces vingt dernières années, Ludovic Recchia a été commissaire d’une trentaine d’expositions thématiques et monographiques parmi lesquelles D’Immatériels lendemains – Porcelaines d’aujourd’hui (2005), Vincent Beague – Porcelaines (2006), Johan Creten – Tour des forces (2007), Marc Feulien – L’Illusion et le Paysage (2008), Piet Stockmans – Designer (2010), Helvetica – Céramique suisse d’aujourd’hui (2011), Claude Aiello et les designers (2012), Clémence Van Lunen – Métamorphoses (2013), La Terre Paysage (2016), Frank Steyaert – Memorabilia (2017), Charlotte Coquen – Tout à l’horizontal (2018) ou encore Hugo Meert – Unbreakable (2021).
  • Philippe Godderidge

    Né en 1955, le céramiste Philippe Godderidge vit et travaille en Normandie. Il développe depuis 50 ans une réflexion autour de la pratique de la céramique qui l’entraîne vers la sculpture, la poterie, l’installation et le dessin. L’écriture d’un « journal d’atelier », accompagnant son travail depuis 2006, est accessible en ligne sur philippegodderidge.com.

  • Karim Ghaddab

    Karim Ghaddab est critique d’art, membre de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art), professeur d’histoire et théorie des arts à l’École Supérieure d’Art et Design de Saint-Étienne, chercheur et cofondateur du LEM (Laboratoire d’Expérimentation des Modernités). Auteur de nombreuses préfaces de catalogues, il a également collaboré à plusieurs revues spécialisées. De 2011 à 2016, il a été directeur artistique de la manifestation L’art dans les chapelles (Morbihan). Parallèlement, il est occasionnellement commissaire d’expositions.

  • Marc Barani

    Après avoir étudié l’architecture et la scénographie, il complète sa formation par des études d’anthropologie qui l’ont conduit un an au Népal. Son équipe est pluridisciplinaire et réunit selon les projets architectes, scénographes, designers et paysagistes. Aujourd’hui, l’Atelier travaille sur des projets de taille et de nature très différentes, comme des équipements culturels, des bâtiments d’enseignement, des logements, des bureaux, des infrastructures de transport, des ouvrages d’art. L’équipe s’intéresse, par ailleurs, à la mise au point de nouveaux procédés de construction. Marc Barani a enseigné l’architecture de 1993 à 2003 et donne régulièrement des conférences en France et à l’étranger. En 2008, il reçoit le prix de l’Équerre d’argent du Moniteur pour la gare des tramways de Nice. En 2013, il est lauréat du Grand Prix National de l’Architecture. En 2018, il reçoit la Grande Médaille d’Or décernée par l’Académie d’Architecture. Marc Barani s’est largement impliqué pour le ministère de la Culture, au cours de l’année 2015, dans les travaux en vue de l’élaboration de la nouvelle stratégie nationale pour l’architecture où il a animé le groupe de travail « Innover ». Il est également membre du cercle de réflexion « Valeur de l’Architecture » mis en place en 2018. En 2018, il est nommé à l’Académie des Beaux-Arts.

Communiqué de presse